| Académie des sciences, lettres et arts de Marseille - 1876 - 914 pages
...l'Académie d'une autre grande ville Française, Bordeaux, le 15 novembre 1727, Montesquieu disait: « Qu'on se défasse de ce « préjugé, que la province n'est point en état de per« fectionuer la science, et que ce n'est que dans les « capitales que les académies peuvent fleurir... | |
| Frédéric Le Play - 1878 - 490 pages
...inconvénients analogues à ceux « Paris n'a pu encore les dévorer. » (Lettres familières.) — « Qu'on « se défasse de ce préjugé que la province n'est point en état de i. perfectionner les sciences, et que ce n'est que dans les capitales « que le; académies peuvent... | |
| Académie des sciences, lettres et beaux-arts de Marseille - 1878 - 972 pages
...l'Académie d'une autre grande ville Française, Bordeaux, le 15 novembre 1727, Montesquieu disait: « Qu'on se défasse de ce « préjugé, que la province n'est point en état deper« fectionner la science, et que ce n'est que dans les « capitales que les académies peuvent... | |
| Francisque Bouillier - 1879 - 414 pages
...à l'Académie de Bordeaux : « Qu'on se défasse surtout de ce préjugé que la province n'est pas en état de perfectionner les sciences et que ce n'est que dans les capitales que les académies peuvent fleurir. Ce n'est pas du moins l'idée que nous en ont donnée les poètes qui semblent n'avoir... | |
| Société de statistique d'histoire et d'archéologie de Marseille et de Provence - 1879 - 500 pages
...suivante, que Montesquieu a écrite dans le commencement du XVII* siècle; nous lui cédons la parole : « Qu'on se défasse de ce préjugé que la province n'est « point en état de perfectionner la science et que ce n'est « que dans la capitale que les Académies peuvent fleu« rir. » La preuve... | |
| Augustin Cochin, Albert de Broglie - 1880 - 430 pages
...celui de l'instruction publique. C'est en 1717 que Montesquieu écrivait : « Quand se défera-t-on de ce préjugé, que la province n'est point en état...ce n'est que dans les capitales que les Académies peuvent fleurir? » Le préjugé pourra bien durer encore en 1917. M. Le Play admet la liberté de... | |
| Académie de Nîmes - 1880 - 528 pages
...son discours de réception à l'Académie de Bordeaux, le 15 novembre 1121, Montesquieu disait : « Qu'on se défasse de ce » préjugé que la province n'est point en état de perfec» tionner la science, et que ce n'est que dans les capi» taies que les Académies peuvent fleurir... | |
| Frédéric Le Play - 1887 - 676 pages
...inconvénients analogues à ceux que je viens de signaler pour l'ensemble de l'Empire. Les petites « se défasse de ce préjugé que la province n'est...n'est que dans les capitales « que les académies peuvent fleurir. » (Discours prononcé à la rentrée de l'Académie de Bordeaux, le 15 novembre 1717.)... | |
| Académie nationale des sciences, belles-lettres et arts de Bordeaux - 1899 - 472 pages
...Montesquieu. « Qu'on se défasse surtout, » écrivait-il, de ce préjugé que la province n'est pas en » état de perfectionner les sciences, et que...n'est que » dans les capitales que les académies puissent fleurir. » Et il ajoutait, s'adressant à ses confrères de l'Académie de Bordeaux : «... | |
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