Histoire des religions de la Grèce antique depuis leur origine jusqu'à leur complète constitution: la moraleLibrairie philosophique de Ladrange, 1859 |
Other editions - View all
Common terms and phrases
adorée Ælian Alex analogue Aphrodite Apollon Apul Aristot Arnob asiatique Athen attribuait Atys avaient Bekker Boeckh caractère carien Cicer Clem croyances culte Cybèle Cypre d'Adonis d'Aphrodite d'Atys déesse démons deor dieu dieux Diodor Diogen Dionysos divinité doctrine edit Égypte égyptiens emprunté Euripid fables fêtes fragm Gent græc grecque Grecs hellénique Herodot Hesychius Hist Homère Hygin Hymn ibid idées Iliad inscriptions Isis Jamblich l'Artémis l'Asie Mineure l'Égypte l'Hercule Laert légende Lobeck Lucian Lydie Lydiens médailles Mionnet monnaies morale mystères mythes mythologie Orelli orphiques Osir paraît Pausan Perse Phénicie phénicienne Phérécyde philosophe Phrygie phrygienne Pindare Platon Plutarch poëtes Porphyr Præp prêtres principe Pyth Pythag Pythagore Pythagoriciens Quæst Reiske religieux religion représenté Rhéa rites Sabazius Schol Socrate Stob Strab Strabon Sturz suiv surnom Syrie temple théogonie théologie Thrace traits VIII Voyez vraisemblablement Xenoph Zagreus Zeus δὲ καὶ τὸ τῶν
Popular passages
Page 255 - C'est toujours la lutte du bien et du mal, de la lumière et des ténèbres, de la vie et de la mort : d'un côté la puissance du mal s'introduisant sous la figure du serpent avec l'aide de...
Page 49 - La puissance divine s'exerce avec lenteur , mais » son effet est infaillible. Elle poursuit celui qui, » par un triste égarement, s'élève contre le ciel et » lui refuse son hommage ; sa marche détournée et » secrète atteint l'impie au milieu de ses vains projets. » 0 fol orgueil , qui prétend être plus sage que les » sages et antiques lois ! Doit-il coûter à notre foi...
Page 433 - ... devenir divine comme elle, alors elle reçoit de grandes distinctions, et du lieu qu'elle occupe, elle passe dans une autre demeure toute sainte et bienheureuse; si elle a vécu dans le vice, elle va habiter une demeure conforme à son état. Telle est, mon cher fils, la justice des habitants de l'Olympe...
Page 223 - ; and he goes on to say, ' et anniversariam ei celebrant solemnitatem, in qua plangitur a mulieribus quasi mortuus, et postea reviviscens canitur atque laudatur.
Page 125 - Chabouillet. —Catalogue général et raisonné des camées et pierres gravées de la Bibliothèque impériale, suivi de la description des autres monuments exposés dans le Cabinet des Médailles et Antiques, publié sous les auspices de S. Exe. le ministre de l'instruction publique, par M. Chabouillet, conservateur adjoint du Cabinet des Médailles et Antiques. — Paris, J. Claye, 1838, in-8
Page 448 - ... les plus puissants motifs d'espérer que si nous rendons fidèlement aux dieux le culte qui leur est dû, il nous rétablira, après cette vie, dans notre nature première, guérira nos infirmités, et nous donnera un bonheur sans mélange.
Page 54 - ... despotiquement sur les hommes et même sur les dieux, les biens et les maux, les châtiments et les récompenses.
Page 474 - ... donc plein de défiance et de frayeur; il se demande compte de sa conduite passée ; il recherche le mal qu'il a pu faire. Celui qui , en examinant sa vie, la trouve pleine d'injustices, se réveille souvent, pendant la nuit, agité de terreurs subites comme les enfans ; il tremble et vit dans une affreuse attente. Mais celui qui n'a...
Page 402 - Les Grecs ne se croyaient lies ni par le droit ni par l'humanité: ils ne se connaissaient d'obligations réciproques que lorsqu'un traité 1ея avait stipulées. La notion de devoirs découlant de la nature de l'homme reconnue par les philosophes n'entra pas dans le domaine des relations internationales." It is only fair to add that the writers of this class generally modify to some extent the severity of their criticisms, by noticing the existence of some usages •which tended in the direction...
Page 217 - Hiérapolis comme en Phrygie, existaient des eunuques sacrés et de sacrées orgies , où les dévots formant des danses sauvages , au bruit du tambour et au son des flûtes , se flagellaient mutuellement jusqu'à faire couler leur sang, et même, dans le transport frénétique de la fête, sous les yeux du peuple assemblé, portaient la main sur leur propre corps et se privaient de la virilité.