Revue germanique, française & étrangère, Volumes 15-19Bureaux de la Revue germanique, 1861 |
From inside the book
Results 1-5 of 69
Page 11
... dernier jour d'avril ( avant la nuit de Walpurgis ) , ils ont grand soin , quelque temps qu'il fasse , de faire sortir et promener tout leur bétail , de gré ou de force . Chez eux enfin , pour compléter la ressemblance des coutumes , le ...
... dernier jour d'avril ( avant la nuit de Walpurgis ) , ils ont grand soin , quelque temps qu'il fasse , de faire sortir et promener tout leur bétail , de gré ou de force . Chez eux enfin , pour compléter la ressemblance des coutumes , le ...
Page 13
... dernier par le savant évêque luthérien de Bergen , Eric Pontoppidanus , dans son ouvrage sur les restes du paga- nisme chez les Danois , publié sous le titre bizarre d'Everriculum fer- menti veteris ' . Suivant lui , « la simplicité ...
... dernier par le savant évêque luthérien de Bergen , Eric Pontoppidanus , dans son ouvrage sur les restes du paga- nisme chez les Danois , publié sous le titre bizarre d'Everriculum fer- menti veteris ' . Suivant lui , « la simplicité ...
Page 18
... dernier s'en était servi pour garder les troupeaux d'Admète , c'est - à - dire sans doute , dans l'état primitif de la légende qui n'est pas parvenu jusqu'à nous , pour les en toucher afin de les rendre féconds , comme c'est le rôle de ...
... dernier s'en était servi pour garder les troupeaux d'Admète , c'est - à - dire sans doute , dans l'état primitif de la légende qui n'est pas parvenu jusqu'à nous , pour les en toucher afin de les rendre féconds , comme c'est le rôle de ...
Page 22
... dernier chevelu de sa racine . Alors on lui passait au collet un cordon dont l'autre bout était attaché à la queue d'un chien noir , n'ayant pas un poil blanc sur le corps . On appelait le chien en lui montrant un morceau de pain ; dans ...
... dernier chevelu de sa racine . Alors on lui passait au collet un cordon dont l'autre bout était attaché à la queue d'un chien noir , n'ayant pas un poil blanc sur le corps . On appelait le chien en lui montrant un morceau de pain ; dans ...
Page 31
... dernier . C'est pourquoi l'on croyait que rien de venimeux ne pouvait rester dessous . Un serpent aurait plutôt sauté dans le feu que d'entrer sous l'ombre d'un frêne ; il était engourdi aussitôt qu'une baguette de frêne venait à le ...
... dernier . C'est pourquoi l'on croyait que rien de venimeux ne pouvait rester dessous . Un serpent aurait plutôt sauté dans le feu que d'entrer sous l'ombre d'un frêne ; il était engourdi aussitôt qu'une baguette de frêne venait à le ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
antiques arrivé Aryas avons baguette Belloguet Bender Bonaparte Brahmanes briller Bubna chambre CHARLES DOLLFUS chose ciel cœur comte Stadion conscience côté croyance devant développement Dieu dieux dire divinités donner Dora Élisabeth enfant femme force forme foudre général Gitel gouvernement Grèce guerre homme hymnes idées Indra Iosef j'ai jamais jeune fille Joseph jour Jupiter jusqu'à l'Église l'empereur l'histoire l'Inde l'od laissé langue Laubenheim légende liberté Liechtenstein longtemps lumière madame Rauschenbach magnétisme main Marie Max Müller ment mère Metternich monde morale mort mythes mythologie nature odique paix Palffy parler passé paysanne Pendjab pensée peuple phénomènes Phidias philosophie poésie poëte pôle politique Pologne Polyclète porte Praxitèle première qu'une question race raison rapport regard Reinhardt religieux reste rien Rig-Véda Royer-Collard Ruthénie s'écria s'est sais sanscrit Sarasvati savant Schleiermacher semble sensitif sentiment Sept-Rivières serait seulement siècle Sindh soleil sorte surtout terre Théséion tion tribus trouve Uranus Véda védiques vérité volonté vrai yeux
Popular passages
Page 606 - ... droits privés, vraies républiques dans la monarchie. Ces institutions, ces magistratures ne partageaient pas, il est vrai, la souveraineté ; mais elles lui opposaient partout des limites que l'honneur défendait avec opiniâtreté. Pas une n'a survécu, et nulle autre ne s'est élevée à leur place. La révolution n'a laissé debout que des individus.
Page 508 - Je prends cet arc dans la main du trépassé pour notre force, notre gloire, notre prospérité. 0 toi, voilà ce que tu es devenu. Et nous, en ces lieux, puissions-nous être des hommes de cœur, et triompher de tous nos superbes ennemis ! 10.
Page 297 - L'opinion était excellente, elle est exécrable. La France se demande ce qu'est devenu le vieux bras de l'Empereur, ce bras dont elle a besoin pour dompter l'Europe. Que me parle-t-on de bonté, de justice abstraite, de lois naturelles? La première loi, c'est la nécessité ; la première justice, c'est le salut public.
Page 606 - La démocratie y possède-t-elle quelque institution tutélaire. quelque magistrature, ouvrage de ses mains, élevée dans son intérêt et pour sa défense? Non; la société, si riche autrefois de magistratures populaires, n'en a plus une seule; elle est centralisée; son administration tout entière a passé dans le gouvernement; pas un détail de police locale n'a échappé : ce sont les délégués de la souveraineté qui nettoient nos rues et qui allument nos réverbères. La démocratie n'est...
Page 607 - ... être à la fois innocent et dangereux, et qu'ainsi, pour la sûreté de l'État, il doit y avoir au delà de la justice une justice extraordinaire, un pouvoir arbitraire pour frapper ce qui est dangereux, quoique légalement irréprochable. « Je n'ai rien à dire de cette maxime , si ce n'est que c'est elle qui a fait le tribunal révolutionnaire (mouvement très-vif à droite); oui, Messieurs, le tribunal révolutionnaire.
Page 604 - Or, toute opinion capable de faire exister un journal est capable de le cautionner, quel que soit le taux du cautionnement. Et puisque ce sont les journaux qui constituent les opinions dans la société, et qui sont en quelque sorte leur gouvernement, il est de l'intérêt des partis d'être constitués en eux-mêmes, et pour eux-mêmes, sur le même plan que la société à laquelle ils appartiennent. De même donc que les affaires de la société se traitent par des hommes choisis dans une situation...
Page 94 - L'art vécut plus longtemps dans les écoles doriennes. On vit sortir des ateliers des fondeurs des bronzes athlétiques lorsque le ciseau des sculpteurs avait cessé de travailler le marbre pour les temples. Après la ruine de la Grèce, lorsque le goût des Romains pour les arts amena une renaissance de la sculpture, ce fut le génie dorien qui prédomina parmi les nouveaux artistes et qui marqua de son empreinte les nouveaux chefs-d'œuvre de l'époque romaine. Polyclète fut alors préféré...
Page 601 - Oui peutêtre, s'ils marchaient à découvert, s'ils parlaient le même langage, s'ils relevaient les mêmes étendards. Mais ils changeront de couleurs et de discours, de mesure et de poids, au gré des circonstances ; ils ne diront rien de ce qu'ils disaient; ils diront le contraire; ils brûleront, s'il le faut, ce qu'ils ont adoré; ils adoreront ce qu'ils ont brûlé. L'hypocrisie est la vertu des partis; les embûches sont toute leur...
Page 602 - Royer-Collard, la tyrannie n'est autre chose que l'arbitraire en permanence. De toutes les espèces d'arbitraire, celui que je voudrais le moins confier à un pouvoir permanent, c'est l'arbitraire de la presse. Les pouvoirs...
Page 453 - Cet univers est un : nous sommes les membres d'un grand corps. La nature, en nous formant des mêmes éléments et pour les mêmes fins, nous a créés parents : c'est elle qui nous a liés les uns aux autres par un attachement mutuel...