Nouveau journal asiatique

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La Société asiatique, 1832
Ser. 6, v. 11, 14 and 18; ser. 7, v. 1 and 9, ser. 7, v. 16 and 19, ser. 8, v. 5, 9, 13 and 17 include "Bibliographie ottomane. Notice des livres turcs arabes et persans imprimés à Constantinople durant le période 1281-1307 de l'Hégire" (title varies slightly)
 

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Popular passages

Page 262 - DU PONT , et livre de la loi au Sarrazin , en prose , du XIVe siècle , par Raymond LULLE ; publiés pour la première fois et accompagnés de notes par MM. REINAUD et Francisque MICHEL. Paris, 1831, gr.
Page 90 - Translated from the Persian version, made by Nekkeib Khan, in the time of the Emperor Akbar. By Major DAVID PRICE, of the Bombay Army, MRAS, of the Oriental Translation Committee, and of the Royal Society of Literature.
Page 151 - M. Schmidt n'eût peut-être pas proposé cet aperçu géologique, s'il eût su qu'il existe des géophages dans toutes les parties du monde; que l'introduction de la terre dans l'estomac n'a pas pour objet de sustenter l'individu, mais de le garantir des atteintes de la faim ; qu'il n'ya pas d'espèce particulière de terre qui ait des propriétés nutritives, et qu'on mange indifféremment, suivant les lieux, des glaises grasses et onctueuses, du tuf, de la terre olïaire friable, des lithomarges,...
Page 161 - Altankhagan des anciens Mandchous , c'est-àdire, de la nation des Kin. A cette occasion, Sanang récapitule les règnes des empereurs de la dynastie Ming , depuis Houng-wou , mais en mêlant à son résumé beaucoup d'erreurs de noms et de dates; circonstance bien remarquable pour un empire si voisin de son pays, et dont il se flatte d'avoir consulté les annales; circonstance qui ne contribue pas à augmenter la confiance qui lui est due pour les époques et les dynasties dont il est l'unique historien....
Page 303 - Abd-alrahman sortirent à la rencontre du khalife, avec le reste des habitans. Suivant le récit de Tabari , Moawiah les ayant invités à reconnaître leur futur souverain , et n'ayant obtenu qu'un refus formel, ne répondit rien et continua sa route. Après avoir accompli son pèlerinage , il repassa par Médine ; mais il ne crut pas que la prudence lui permît de recourir à des mesures violentes. Suivant une autre narration (3), lorsque les quatre personnages susdits sortirent de Médine pour...
Page 38 - L'écrivain mongol rapporte cette circonstance et plusieurs autres, d'une manière conforme à la vérité historique; il en raconte aussi quelques-unes empreintes de ce merveilleux outré qui caractérise les légendes bouddhiques. Le traducteur, dans ses notes, ajoute encore, d'après d'autres auteurs, à la partie fabuleuse des récits de Sanang. Mais ce qu'il ya de plus curieux dans les détails qui concernent Srongdsan, c'est l'histoire de son mariage avec la princesse Wentching, qui lui fut...
Page 32 - Sanang-Setsen , nomme troi* descendans de Bouddha, c'est-à-dire, de ShakyaMouni , de l'un desquels était issu un prince qui fut pris dans une bataille contre une armée de barbares, au nombre de 180,000. Son plus jeune fils se sauva dans les montagnes de Neige , et devint la souche des princes de Yarlong dans le Tibet. Cette tradition n'est fixée par aucune date , et n'a même pas de suite dans le reste de l'histoire tibétaine; mais il en vient immédiatement une autre qui, dit l'auteur, se rapporte...
Page 50 - Avec lui périt la puissance et la gloire des monarques tibétains, comme s'éteint une lampe dont l'huile est épuisée. C'est un auteur mongol qui emploie cette comparaison. Le frère du précédent lui succéda sous le nom de Dharma. On est d'accord sur ce prince : seulement les mémoires du P. Horace le font régner une première fois avant Relvatchen , et reprendre après lui de nouveau possession du trône.
Page 314 - H ajouta que, s'ils refusaient, il fallait à l'instant leur faire trancher la tête ; que ce moyen expéditif était le seul parti à prendre, pour prévenir des troubles interminables. Walid resta consterné, versa des larmes et déplora la triste nécessité que lui imposait l'ordre de son souverain. Merwan lui représenta l'inimitié de la maison d'Ali contre celle d'Ommaïah, et les guerres civiles qu'une conduite peu énergique ne manquerait pas de faire naître parmi les Musulmans.
Page 150 - II ya, dans le récit de ces expéditions contre diverses tribus mongoles et oïrad, des circonstances qui se rapportent avec celles que Pallas a recueillies au sujet de l'histoire des Calmuques (2); et malgré la discordance de quelques parties, M. Schmidt est porté à croire que les deux narrations doivent avoir eu un fond commun. Sanang...

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