Résumé analytique des travauxP. Periaux, 1887 |
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Académie des Sciences années Archives arrêt artiste Arts avaient avez Bach beau Beaunay Beaurepaire belle Belles-Lettres Bligny brigade Briot c'était Caen Caudebec Cauterets chants charme Chennevières choses cœur confrère Conseil Cour des Aides dépôt de mendicité détenus devant Dieppe Dieu dire DISCOURS DE RÉCEPTION divin donner Dumanoir enfants esprit faisait Félix femme gabelle Généralité de Rouen génie Gilles Asselin Gisors graveur Greniers à sel Hændel hommes Igny impôt j'ai jardin Jean de Saint-Igny jour l'Académie l'Etat l'histoire l'homme l'impôt l'Intendant l'oratorio laisser Lepage lettres livres Lorcher Loth magistrat maison maître mélodie membres mendiants ment Messieurs Mme Du Cluzel monde musique n'était Normandie œuvres oratorio Parlement Parlement de Normandie paroisse Paul pauvres peintre pendant pensée personnes philosophie porte pots premier Président prisons Professeur Quart-Bouillon Réaumur renfermés reste Robert Dumesnil saint Saint-Igny Sapincourt savant Seine-Inférieure sentiment serait seulement Société d'Agriculture Société des Sciences sorte Tarrieu tion travail trouve vérité XVIIIe siècle
Popular passages
Page 147 - de ses œuvres. Oui c'est un Dieu caché que le Dieu qu'il faut croire, Mais tout caché qu'il est pour révéler sa gloire Quels témoins éclatants devant moi rassemblés ! Répondez, cieux et mers ; et vous, terre, parlez
Page 36 - derrière le théâtre. Ma partie est bien petite en ce monde et si peu considérable, que quand je regarde de près, il me semble que c'est un songe de me voir ici, et que tout ce queje vois ne sont que de vains simulacres.
Page 218 - de l'animal quelques-uns de ses écus, fruits de ses durs labeurs... et songeant tristement : Sa femme, ses enfants, les soldats, les impôts, Les créanciers et la corvée... il était las de la vie si cruelle pour lui. Que de plaintes, en effet, de tous côtés, d'un bout
Page 36 - Je ne suis venu que pour faire nombre, encore n'avait-on que faire de moi; et la comédie ne serait pas moins bien jouée, quand je serais
Page 216 - Enfin, le sel est l'image de cet esprit piquant et délicat qui donne à certaines œuvres littéraires une saveur pénétrante. A ce titre, en parlant de sel devant l'Académie, vous nous avez mis, comme on dit, l'eau à la bouche. Le personnage de la comédie de Molière le réclamait pour son sonnet. Il est de sel attique assaisonné partout, Et vous le trouverez, je crois, d'assez bon goût.
Page 129 - C'est ordinairement le défaut des esprits forts et de ceux qui abusent de leur pénétration dans les vérités intellectuelles, de prétendre des démonstrations géométriques pour prouver toutes les vérités de la religion, qui appartiennent en grande partie à la troisième classe
Page 107 - des inventions qui leur avaient été laissées que comme de moyens pour en avoir de nouvelles, et que cette heureuse hardiesse leur a ouvert le chemin,
Page 265 - est d'autant plus intéressé que l'oisiveté criminelle dans laquelle ils vivent prive les villes et les campagnes d'une infinité d'ouvriers nécessaires pour la culture des terres et pour les manufactures, et que la dissolution et la débauche, qui sont la suite
Page 36 - Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre. C'est Dieu qui nous fait vivre C'est Dieu qu'il faut aimer.
Page 266 - été chassés ; que l'on n'avoit pas pourvu suffisamment à l'entretien des hôpitaux, ce qui avoit obligé, dans différents endroits, les directeurs des hôpitaux à ouvrir les portes à ceux qui y étoient renfermés ; que l'on n'avoit point offert de travail et de retraite aux mendiants valides qui ne pouvoient en trouver, ce qui leur