| François-René vicomte de Chateaubriand, François-René “de” Chateaubriand - 1802 - 368 pages
...comme le plus grand malheur chez les anciens , ce qui étoit le dernier supplice dont on punissoit les scélérats, (nous entendons la dispersion des...voir, disonsnous , cette dispersion applaudie comme 1» (i) Les anciens auroient cru un état renversé, si l'on avoit -violé l'asyle des morts. On connoît... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1827 - 422 pages
...regardoit comme le plus grand malheur chez les anciens, ce qui étoit le dernier supplice dont on punissoit les scélérats, nous entendons la dispersion des...applaudie comme le chef-d'œuvre de la philosophie. Et où étoit donc le crime de nos aïeux, pour traiter ainsi leurs restes, sinon d'avoir mis au jour... | |
| Marie-Anne Adélaide Le Normand - 1827 - 482 pages
...de nouveaux arrêts de proscription dirigés souvent contre ceux qu'ils venaient d'aduler. « II fut réservé à notre siècle de voir ce qu'on regardait...punissait les scélérats (nous entendons la dispersion de la cendre des morts ) , de voir, disons - nous , cette dispersion applaudie comme le chefd'œuvre... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1827 - 426 pages
...regardoit comme le plus grand malheur chez les anciens, ce qui étoit le dernier supplice dont on punissoit les scélérats, nous entendons la dispersion des...applaudie comme le chef-d'œuvre de la philosophie. Et où étoit donc le crime de nos aïeux, pour traiter ainsi leurs restes, sinon d'avoir mis au jour... | |
| Marie-Anne Adélaide Le Normand - 1827 - 484 pages
...nouveaux arrêts .de proscription dirigés souvent contre ceux qu'ils venaient d'aduler. « Il fut réservé à notre siècle de voir ce qu'on regardait comme le plus grand malbeur cbez les anciens , ce qui était le dernier supplice dont on punissait les scélérats (nous... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1834 - 454 pages
...regardoit comme le plus grand malheur chez les anciens, ce qui étoit le dernier supplice dont on punissoit les scélérats, nous entendons la dispersion des...applaudie comme le chef-d'œuvre de la philosophie. Et où étoit donc le crime de nos aïeux, pour traiter ainsi leurs restes, sinon d'avoir mis au jour... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 378 pages
...regardoit comme le plus grand malheur chez les anciens, ce qui étoit le dernier supplice dont on punissoit les scélérats, nous entendons la dispersion des...applaudie comme le chef-d'œuvre de la philosophie. Et où étoit donc le crime de nos aïeux , pour traiter ainsi leurs restes, sinon d'avoir mis au jour... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1840 - 762 pages
...regardoit comme le plus grand malheur chez les anciens, ce qui étoit le dernier supplice dont on punissoit les scélérats, nous entendons la dispersion des...applaudie comme le chef-d'œuvre de la philosophie. El où étoit donc le crime de nos aïeux, pour traiter ainsi leurs restes, sinon d'avoir mis au jour... | |
| vicomte Joseph-Alexis Walsh - 1840 - 510 pages
...plus ! c'est là le grand souvenir des temps de liberté. « 11 fut réservé à notre siècle (1) de voir ce qu'on regardait comme le plus grand malheur...scélérats; nous entendons la dispersion des cendres , cette dispersion applaudie comme le chef-d'œuvre de la philosophie ; et où était donc le crime... | |
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