Nous continuons notre route parla droite, et nous atteignons, par une pente assez douce, le point le plus bas de la crête qui sépare les deux cratères. Alors nous percevons plus fortement qu'auparavant l'odeur des vapeurs sulfureuses, dont nous étions... Bulletin de la Société géologique de France - Page 524by Société géologique de France - 1845Full view - About this book
| 1845 - 414 pages
...mètres. Nous continuons notre route par la droite, et nous atteignons , par une pente assez doace , le point le plus bas de la crête qui sépare les...donc, à la grâce de Dieu , sans savoir où nous arriverons, et suivant un chemin de plus en plus difficile, car les parois du second cratère sont... | |
| Société géologique de France - 1845 - 962 pages
...des parois. Au milieu se dessine un torrent alors à sec Mon baromètre , suspendu à un gros bloc, m montre que nous avons descendu de plus de 300 mètres....pente assez douce , le point le plus bas de la crête q«| sépare les deux cratères. Alors nous percevons plus forteinen qu'auparavant l'odeur des vapeurs... | |
| 1845 - 1016 pages
...descendu à plus de trois cents mètres. Ils continuent leur route par la droite, et ils atteignent, par une pente assez douce, le point le plus bas de la crête qui sépare les deux cratères. Alors ils perçoivent plus fortement qu'auparavant l'odeur des vapeurs sulfureuses dont ils étaient déterminés... | |
| Louis François Didier - 1898 - 584 pages
...gros bloc me montre que nous avons descendu de plus de 300 mètres. Nous continuons notre route par la droite, et nous atteignons, par une pente assez douce,...deux cratères. Alors nous percevons plus fortement l'odeur des vapeurs sulfureuses, dont nous étions déterminés à découvrir la source. Nous descendons... | |
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