Tableaux de la nature ou, Considerations sur les déserts, sur la physionomie des végétaux, sur les cataractes de l'orénoque, sur la structure et l'action des volcans dans les différentes régions de la terre, etc, Volume 2 |
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 13 - ... à ce dernier sa structure primitive ; mais c'est ce que ne peut faire le chimiste, par la raison qu'il n'est pas maître de l'esprit. » Lorsque M. de Humboldt lui-même écrit les lignes suivantes , ne semble-t-il pas se douter des phénomènes que vont révéler les générations spontanées : « La vie est répandue partout ; la force organique travaille continuellement à rattacher à de nouvelles formes les éléments séparés par la mort ; mais cette richesse d'êtres organisés et leur...
Page 177 - Saint-Vincent. on compte cent cinquante-sept lieues en ligne droite. L'intensité de ce bruit était à peine plus considérable sur les côtes de la mer des Antilles , près du volcan en éruption , que dans l'intérieur.
Page 175 - Asie, et qui s'étend , clans le sens des méridiens , sur une longueur de dix-huit cents lieues. Tout le plateau de Quito , dont le Pichincha , le Cotopaxi et le Tunguragua forment les cimes , est un seul foyer volcanique. Le feu souterrain s'échappe, tantôt par l'une , tantôt par l'autre de ces ouvertures , que l'on s'est accoutumé à regarder comme des volcans particuliers. La marche progressive du feu y est , depuis trois siècles , dirigée du N. au S. Les tremblements de terre même , qui...
Page 176 - Vénézuela , situées du côté opposé. Trente jours après la destruction totale de la ville de Caracas, arriva l'explosion du volcan de SaintVincent, île des petites Antilles, éloignée de cent trente lieues de la contrée où s'élevait cette cité.
Page 99 - Cet arbre gigantesque, dit M. de Humboldt dans ses Tableaux de la nature, est aujourd'hui dans le jardin de M. Franchi, dans la petite ville d'Orotava, appelée jadis Taoro , l'un des endroits les plus délicieux du monde cultivé. En...
Page 26 - Mais si le caractère des diflerens pays dépend de toutes les apparences exlérieu res, si le contour des montagnes, si la physionomie des plantes et des animaux, si le bleu du ciel , la proportion des nuages , et la transparence de l'air , influent sur l'impression que produit l'ensemble; on ne peut nier que la cause principale de cette impression ne soit dans la masse des plantes. Les espèces animales sont trop éparses, et la mobilité des individus les dérobé trop souvent à nos regards.
Page 177 - Ce bruit, qui certainement ne se propageait point par l'air , doit avoir en sa cause bien avant dans le fond de la terre. Son intensité était à peine plus considérable sur les côtes de la mer des Antilles , près du volcan en éruption , que dans l'intérieur du pays.
Page 100 - Cest sans contredit, avec le baobab, un des plus anciens habitans de notre planète. Il est singulier que le dragonier ait été cultivé depuis les temps les plus reculés dans les îles Canaries , dans celles de Madère et de Porto-Santo , quoiqu'il vienne originairement des Indes. Ce fait contredit l'assertion de ceux qui représentent les Guanches comme une race d'hommes atlantes , entièrement isolée et n'ayant aucune relation avec les autres peuples de l'Asie et de l'Afrique.
Page 114 - Monographie des palmiers, i vol. in-f°, lig. color. pèce d'échafaudage , ou l'entourent en bourrelets multipliés; quelquefois la tige est renflée dans le milieu , et plus mince en dessus et en dessous. Mais c'est surtout le feuillage et ses innombrables variétés qui donnent au palmier son aspect pittoresque.
Page 7 - Dans ceux-ci paraissent des vers gélatineux qui , vivans ou morts , brillent comme des étoiles 5 , et par leur éclat phosphorique changent la surface du vaste Océan en une mer de feu. Ce sera pour moi une impression ineffaçable...