Œuvres de M.A. Jay ...Sauvaignat, 1839 |
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... siècle quatre fois plus cher que les œu- vres réunies de Bourdaloue et de Massillon ; il regarde avec plus de complaisance la Hen- riade de Garnier que celle de Voltaire , et je sais qu'il possède une ancienne farce de la Pas- sion qui ...
... siècle quatre fois plus cher que les œu- vres réunies de Bourdaloue et de Massillon ; il regarde avec plus de complaisance la Hen- riade de Garnier que celle de Voltaire , et je sais qu'il possède une ancienne farce de la Pas- sion qui ...
Page 58
... siècle et dans leur pa- trie . KERKABON . Tant pis ; c'est un vice radical de notre éducation . Nous n'avons jamais su instituer les hommes pour le gouvernement sous lequel ils sont destinés à vivre . Aussi , quels funestes effets cette ...
... siècle et dans leur pa- trie . KERKABON . Tant pis ; c'est un vice radical de notre éducation . Nous n'avons jamais su instituer les hommes pour le gouvernement sous lequel ils sont destinés à vivre . Aussi , quels funestes effets cette ...
Page 64
... siècles ont été en même temps les meilleurs citoyens . Si vous vouliez m'opposer quelques exceptions , je vous prouverais aisément qu'elles tiennent à des causes indépendantes du progrès des sciences et des arts . Si la philosophie tend ...
... siècles ont été en même temps les meilleurs citoyens . Si vous vouliez m'opposer quelques exceptions , je vous prouverais aisément qu'elles tiennent à des causes indépendantes du progrès des sciences et des arts . Si la philosophie tend ...
Page 79
... siècles . Je me défendis de l'accepter , en l'assurant que l'art de dire des injures ne s'était pas encore perdu , et que des hommes qui n'étaient pas savants pouvaient en tenir école . Là - dessus il remua le fond du carton , et en ...
... siècles . Je me défendis de l'accepter , en l'assurant que l'art de dire des injures ne s'était pas encore perdu , et que des hommes qui n'étaient pas savants pouvaient en tenir école . Là - dessus il remua le fond du carton , et en ...
Page 80
... siècle était si corrompu , et les bonnes doctrines tellement négligées , qu'il y avait cent à parier contre un que personne ne lirait le chef - d'oeuvre du professeur de Pé- zénas , et que je ferais conscience de l'expo- ser à un pareil ...
... siècle était si corrompu , et les bonnes doctrines tellement négligées , qu'il y avait cent à parier contre un que personne ne lirait le chef - d'oeuvre du professeur de Pé- zénas , et que je ferais conscience de l'expo- ser à un pareil ...
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Common terms and phrases
aban aimait Américains amis amour anglais Angleterre Arnold asyle Barbé-Marbois beauté bonheur bonne brillantes cause chants charme Chénier cher choses ciel cœur comté de Buck comtesse Comus courage Delille destinée Dieu discours dit-il écrivains esprit États-Unis eût femme fille fleurs Floranville force fortune FREEMAN frère général génie gloire goût gouvernement heureux hommes j'ai j'étais Jacques Delille jamais jésuites jeune jour KERKABON l'amour l'auteur l'in liberté livre livres sterling long-temps losophe Louis XIV Louvois lumière Lycomède Lysandre madame Battaro madame Duhamel main major malheur Mathilde MÉNÉDÈME ment mérite Milton mœurs monde morale n'avait nation nature noble ouvrage Paradis perdu passer passions patrie Pauliska pensée père peuple philosophe plaisir plaisirs poème poète poétique premier princesse prit qu'un raison religion reste Sabrina sais scène sentiments serait Sestos seule siècle sion société sort succès talent teur THEOPHRASTE tion Tiresias toyen trouve vérité vertu Voltaire West-Point yeux
Popular passages
Page 268 - Thus with the year Seasons return, but not to me returns Day, or the sweet approach of even or morn, Or sight of vernal bloom, or summer's rose, Or flocks, or herds, or human face divine...
Page 288 - He added not, and from her turn'd ; but Eve, Not so repuls'd, with tears that ceas'd not flowing, And tresses all disorder'd, at his feet Fell humble ; and, embracing them, besought His peace, and thus proceeded in her plaint. Forsake me not thus, Adam ! witness Heaven...
Page 268 - Those other two, equalled with me in fate So were I equalled with them in renown, Blind Thamyris, and blind Maeonides, And Tiresias and Phineus prophets old. Then feed on thoughts, that voluntary move Harmonious numbers; as the wakeful bird Sings darkling, and in shadiest covert hid Tunes her nocturnal note...
Page 290 - Towards her, his life so late and sole delight, Now at his feet submissive in distress...
Page 268 - Yet not the more Cease I to wander where the muses haunt Clear spring, or shady grove, or sunny hill, Smit with the love of sacred song ; but chief Thee, Sion, and the flowery brooks beneath, That wash thy hallowed feet, and warbling flow, Nightly I visit...
Page 267 - Or of the eternal co-eternal beam, May I express thee unblamed ? since God is light, And never but in unapproached light Dwelt from eternity, dwelt then in thee, Bright effluence of bright essence increate. Or hear'st thou rather pure ethereal stream, Whose fountain who shall tell? before the sun, Before the heavens thou wert, and at the voice Of God, as with a mantle, didst invest The rising world of waters dark and deep, Won from the void and formless infinite.
Page 289 - My only strength and stay : Forlorn of thee, Whither shall I betake me, where subsist ? While yet we live, scarce one short hour perhaps, Between us two let there be peace...
Page 268 - Thee I revisit safe, And feel thy sovran vital lamp ; but thou Revisit'st not these eyes, that roll in vain To find thy piercing ray, and find no dawn ; So thick a drop serene hath quenched their orbs, Or dim suffusion veiled.
Page 289 - Against God only, I against God and thee, And to the place of judgment will return, There with my cries importune Heaven, that all The sentence, from thy head removed, may light On me, sole cause to thee of all this woe,. Me, me only, just object of his ire!
Page 314 - L'évangile à l'esprit n'offre de tous côtés Que pénitence à faire et tourments mérités; Et de vos fictions le mélange coupable Même à ses vérités donne l'air de la fable.