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Il retranche le droit canon de la jurisprudence, et croit devoir le placer après les conciles ou après l'histoire générale de l'église, parce que ce droit tient à la discipline ecclésiastique. Quant au droit canon propre à chaque église, à chaque corporation ecclésiastique ou religieuse, il le fait marcher à la suite de leur histoire particulière. A la jurisprudence succède la Métaphysique, qui comprend, sous le titre d'êtres immatériels, Dieu et les esprits. C'est ici qu'il place la théologie universelle, en commançant par la religion naturelle, d'où passant aux différentes religions, il trouve nécessairement place à la théologie proprement dite. C'est-là qu'il venge les SS. pères du mépris des ignorans qui disent tous les jours: Que sert de conserver ce fatras de SS. pères qu'on ne lira plus? Il fait suivre la métaphysique de la Physique avec toutes ses dépendances, telles qu'elles se trouvent disposées dans le systéme actuel. Il en est de même des Arts qu'il conserve sans aucun changement, ainsi que des Belles-Lettres, à part la grammaire dont nous avons parlé plus haut. Quant à l'Histoire, pour tout changement, il place l'histoire civile avant l'histoire ecclésiastique, ayant soin de faire suivre l'histoire universelle, civile ou profane, de l'histoire ecclésiastique universelle, et l'histoire civile ou profane de chaque nation, de l'histoire ecclésiastique particulière à chaque pays."

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1800. System von Daunou. Mémoire sur la Classification des livres d'une grande Bibliothèque. Lu à la Classe des sciences morales et politiques de l'Institut, Séance du 22 brumaire an IX (13 Novembre 1800); par P. Cl. Fr. Daunou. Nicht gedruckt. Auszuge abgedruckt unter dem Tit.: Système bibliographique de Daunou. Enthalten im: Bulletin du Bibliophile, publié par Techener. IV. Série 1840-1841. Paris. Techener. 8°. No. 9 & 10. S. 402-407.

Nach diesem, im Abrisse auch zu Eingang des „Catalologue des livres de la Bibliothèque de Daunou (Paris, Techener. 1841. 8°.)" abgedruckten Systeme zerfällt das gesammte Litteraturgebiet in sieben Klassen, denen theils „Préliminaires (Bibliographie, Histoire littéraire)" vorausgehen, theils „Supplėmens ou Collections (Collections encyclopédiques et académiques, Collections périodiques, Collections classiques)" folgen. Die sieben Klassen sind: I. Belles Lettres (1. Langues; 2. Prose; 3. Poésie; 4. Mélanges littéraires); II. Histoire (1. Prélimininaires de l'Histoire; 2. Histoire des peuples anciens et modernes; 3. Histoires spéciales; 4. Supplémens historiques); III. Philosophie (1. Philosophie générale, sciences morales et politiques; 2. Sciences physiques et mathématiques); IV. Arts; V. Médecine; VI. Jurisprudence; VII. Théologie.

1802. System von Butenschoen.

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Dictionnaire raisonné de Bibliologie, etc. Par G. Peignot. Tom. II. Paris. Renouard. XI = 1802, 8o. S. 212-18.

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Nach den vom Verf. an Peignot gemachten Mittheilungen hat ersterer dem encyklopädischen Systeme als dem einfachsten und natürlichsten den Vorzug gegeben, und folgende Eintheilung festgestellt: I. Introduction générale aux Sciences, Lettres. et Arts (mit 6 Abschnitten) · II. Littérature et Beaux-Arts: A. Philologie (mit 10), B. Belles-lettres, beaux-arts (mit 5) — III. Sciences historiques (mit 4) IV. Sciences philosophiques: A. Sciences philosophiques théoriques (mit 3), B. Sciences morales et politiques, a. Sciences morales ou philosophiques pratiques (mit 2), b. Sciences politiques (mit 5), C. Sciences philosophiques méthodiques V. Sciences mathématiques et physiques: A. Sciences mathématiques, a. Introduction, b. Mathématiques pures (mit 2), c. Mathématiques appliquées (mit 3), d. Mélanges, B. Sciences physiques, a. Physiographie ou histoire naturelle (mit 3), b. Physique (mit 5), c. Chimie (mit 4) VI. Sciences économiques et médicales: A. Sciences économiques (mit 5), B. Sciences médicales (mit 5) VII. Arts et Métiers (mit 9) VIII. Sciences positives: A. Jurisprudence (mit 5), B. Théologie (mit 4) IX. Mélanges, Collections, Polygraphes.

1802 *System von Thiébaut

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Exposition du tableau philosophique des Connaissances humaines; par Arsenne Thiébaut. Paris, impr. de la République. X. (1802.) 8°.

Peignot, in dessen ,,Dictionnaire raisonné de Bibliologie" Tom. II. S. 248-56 dieses System mitgetheilt ist, sagt darüber: ,,L'idée-mère en appartient à Diderot, qui l'a consignée dans son Traité de l'éducation publique. Le savant encyclopédiste adopte pour la division naturelle des connaissances humaines, les trois principales époques de l'éducation: il place dans le domaine de l'enfance, les connaissances dites instrumentales; il donne les connaissances dites essentielles, à l'adolescent; et il assigne à la jeunesse les connaissances dites de convenance, résultant des goûts et des fruits des premières études. Voici comment Thiébaut développe l'idée de l'auteur. I Connaissances instrumentales: 1 Langage, 2. Mathématiques, 3. Logique. II. Connaissances essentielles: 1. Morales, 2. Physiques. III. Connaissances de convenance: 1. Histoire (A. Positive, B. Civile, C. Sacrée), 2. Théorie (A. Morale, B. Physique), 3. Pratique (A. Morale, B. Physique).“

1803.

* System von Barbier. - Catalogue des livres de la Bibliothèque du Conseil d'État. Paris, impr. de la République, an XI (1803.)

Fol. 2 Thle. in 1 Bd. Nur in 200 Exempl., wovon 15 auf sehr schönem Pap., abgedruckt. Antiq. Pr. 12-15 Fr.

Von A. A. Barbier bearbeitet.

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Ueber dieses System, welches sich in den Hauptabtheilungen an das zu Barbier's Zeit hauptsächlich in Frankreich gangbare anschliesst und nur in den Unterabtheilungen eigenthümliche Modificationen erhalten hat, finden sich im Bulletin du Bibliophile Série VII. 1845, wo No. 3. S. 119-21 Quelques Idées sur les divisions du Catalogue de la Bibliothèque du Conseil d'État, par A. A. Barbier" abgedruckt sind, einige Mittheilungen in Bezug auf die Motiven. Der Verf. sagt dort unter Anderem: „Voici le fond de ce système: il est partagé en cinq grandes divisions. La première est composée des ouvrages relatifs à la Théologie ou aux cultes religieux; la touchante idée de la Divinité préside donc ici à tout ce que l'esprit humain a produit et inventé. Les lois qui régissent les sociétés devant être après nos devoirs envers Dieu, le principal objet de nos réflexions, la Jurisprudence ou législation forme la seconde division de notre système bibliographique. La troisième, sous le titre de Sciences et Arts, comprend les ouvrages relatifs à la philosophie, à la logique, à la morale, à la politique, à l'économie politique, à l'histoire naturelle, aux mathématiques et aux arts soit libéraux, soit mécaniques. Les Belles Lettres, ou les ouvrages composés pour faciliter la connoissance des langues anciennes et modernes, les productions des orateurs et des poëtes, celles où sont tracées les règles de la critique et du goût, celles enfin qui dépendent de l'imagination, forment la quatrième classe. On fait entrer dans une cinquième et dernière classe appelée Histoire, tout ce qui est relatif à la géographie, à la chronologie et aux événemens qui se sont passés et qui se passent tous les jours sur la scène du monde. On peut affirmer que ce système bibliographique est le plus clair et le plus simple de tous ceux qui ont été publiés jusque aujourd'hui." Eine Uebersicht der sämmtlichen Unterabtheilungen des Barbier'schen Systemes ist in der Leipziger allgemeinen PressZeitung Jahrg. II. 1841. No. 7. Sp. 53-55 & No. 25. Sp. 201-7 und in der II. Ausgabe der Deutschen Bearbeitung von L. A. Constantin's Bibliothéconomie (Leipzig, Weber. 1842. 8°.) S. 161-80 abgedruckt.

(Fortsetzung folgt.)

[123.] Nachtrag zur Bibliographie am Tage der Säcularfeier von Schiller's Geburtsfest 10. November 1859*).

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(Fortsetzung.)

Was hat das Schiller-Buch" für einen Zweck? Wurzbach hat bei der Anhäufung seines Schatzes und der Zusammenstellung der grossen Masse der verschiedenartigsten Notizen zu einem übersichtlichen Ganzen einen doppelten Zweck vor Augen gehabt, einmal nämlich dadurch zu zeigen, wie Schiller in alle Schichten des Deutschen Volkes gedrungen sei, und wie sich an ihm Kunst und Wissenschaft in den mannigfachsten Verzweigungen emporgerankt haben, sowie das andere Mal den Nachweis zu geben, wie Schiller Gemeingut der ganzen gebildeten Welt, welche Sprache sie auch sprechen möge, geworden sei. Dabei hat Wurzbach zugleich auch Das noch mit im Sinne gehabt, die Litteratur von und über Schiller, die namentlich seit des Dichters Tode in einem alles Maass überschreitenden Verhältnisse angewachsen sei, einer Revision zu unterziehen und den ganzen vorhandenen überreichen Stoff in einer sowohl den Litterarhistoriker als auch den Bibliographen befriedigenden Weise endlich einmal schon um desswillen zu vereinigen, theils weil alle seither gemachte Versuche, das Zusammengehörige zu gruppiren, zu keiner eigentlichen Vollendung gekommen sondern eben Nichts weiter als Versuche geblieben seien, theils weil man bisher das litterarische Material immer nur nach der einen oder der anderen Richtung bearbeitet, aber die übrigen nicht minder wichtigen Momente einer bibliographisch litterarischen Monographie ganz unberücksichtigt gelassen habe. Fragt man sich, wie Wurzbach, die verschiedenen Ziele im Auge, seine Aufgabe erfüllt habe, so muss man wohl im Allgemeinen mit Anerkennung gestehen, dass Wurzbach, des grossen Umfanges der Aufgabe wohl bewusst, den vorgesteckten Zielen mit ebenso beharrlichem Fleisse als vielseitiger Kenntniss und Umsicht nachgestrebt habe, und dass es zur Zeit ausser ihm sicher nur sehr wenige geben dürfte, die gleich ihm im Stande gewesen

*) Anstatt diese Fortsetzung schon im Februarhefte zum Abdrucke zu bringen, hatte ich sie für das Märzheft aufgespart, in der Erwartung, dass ich damit die Besprechung von ein paar anderen in Aussicht gestellten bibliographischen Schillerschriften würde verbinden können; allein der Umstand, dass diese Schriften bis jetzt noch nicht erschienen sind und der Zeitpunkt ihres Erscheinens überhaupt noch nicht sicher bestimmt werden kann, hat mich dazu aufgefordert, mit der Fortsetzung nicht weiter zu warten und jener anderen Besprechung einen eigenen späteren Schlussartikel zu widmen.

wären, das gewaltige Material, wie es, vom umfänglichsten Werke an bis zur kleinsten, wenn nur wesentlichen Notiz herab, im „Schillerbuche" aufgespeichert vor uns liegt, nicht blos herbeizuschaffen, sondern auch in einer den vorgesteckten Zielen entsprechenden und übersichtlichen Weise zu verarbeiten. Das Schiller-Buch" liefert éin übersichtliches Bild von allen den wie an Zahl so an Mannigfaltigkeit mit einander wetteifernden Kundgebungen der Deutschen Litteratur und Kunst *), die sich an den Namen Schiller's knüpfen, von allen den Zeichen der Theilnahme für Schiller in den höchsten wie in den untersten Kreisen des Volkes, soweit nur immer die Deutsche Zunge reicht - einer Theilnahme, die, wenn sie nach Wurzbach noch eines weiteren Beweises bedurft hätte, bei Gelegenheit des mit seltener und wahrhaft erhebender Einmüthigkeit gefeierten Säcularfestes von Schiller's Geburtstag ihren vollen Ausdruck gefunden hat. Denn setzt man auch billig von den bei diesem Feste an den Tag getretenen Kundgebungen so Manches auf Rechnung eines aus Eitelkeit und Ostentation übertriebenen Enthusiasmus oder sonstiger Demonstration, so bleibt doch noch genug und übergenug übrig, um darnach die hohe und allgemeine Achtung, in welcher Schiller bei Allen im ganzen weiten Bereiche der Deutschen Zunge steht, bemessen zu können. Aber nicht bloss bei Denen, die mit Schiller die gleiche Sprache reden, sondern bei allen Gebildeten der verschiedensten Sprachstämme stehen Schiller und seine Schöpfungen in wohlverdienter Achtung, die sich, wie neuerdings ebenfalls bei Gelegenheit der Säcularfeier durch lebhafte Betheiligung an den Festakten, so hauptsächlich durch zahlreiche, ja fast massenhafte Uebersetzungen, Nachbildungen, Erläuterungs- und anderen Schriften in Böhmischer, Dänischer, Englischer, Französischer, Griechischer, Hebräischer, Holländischer, Itälienischer, Lateinischer, Norwegischer, Polnischer, Portugiesischer, Russischer, Schwedischer, Slovenischer, Spanischer und Ungarischer Sprache kundgegeben hat. Auch hiervon erhält man beim Durchblättern des Wurzbach'schen ,,Schiller-Buches" ein übersichtliches Bild, welches vielleicht, da Wurzbach einmal auf jedes nur mögliche Beiwerk zum Ausbau seines grossartigen Werkes Bedacht genommen hat, durch eine zwar an sich keineswegs nothwendige, gleichwohl nicht uninteressante kleine tabellarische Zusammenstellung aller fremdländischer Schriften, theils nach den verschiedenen Spra

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Beiläufig erwähne ich hier einen kleinen Die Abbildungen Schiller's" betitelten Aufsatz, in der Beilage zur Augsburger allgemei nen Zeitung 1860. Nr. 9. S. 141-42 abgedruckt, der, wenn neben den reichhaltigen Notizen im Schiller-Buche" fast verschwindet, doch nicht ohne einiges Interesse ist.

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