Mémoires historiques sur l'invasion et l'occupation de Malte par une armée française, en 1798, publ. par le comte de Panisse-PassisMesnil, 1883 - 423 pages |
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Altesse Éminentissime ambassadeur arrivé aurait avaient avez ayant bailli de Foresta bailli de Loras bailli des Pennes Bonaparte Brillanne Bruno c'était capitulation cardinal secrétaire d'État Caruson cher Doublet chevalier chiffre chose Cibon comman commandant commandeur congrégation d'État congrégation des guerres congrès de Rastadt décret défense demande dépêche députés devoir dire Directoire Dolomieu donner égard Égypte Éminence envoyé état eût flotte fort Saint-Elme fût général en chef gouvernement grand-croix îles de Malte j'ai j'avais l'armée l'auditeur laisser lettre m'en maître Hompesch maître Rohan malheureux Malte mandeur membres de l'Ordre ment mission Monseigneur Monsieur le Bailli n'avait Naples neutralité pareil parler passé Paul Ier penser personne politique port pourrait Poussielgue pouvait prendre prieuré prince prise de Malte propre puissances Ransijat Rastadt refus répondis-je répondit République reste rien Russie s'en s'était s'il sacré conseil secrétaire secrétairerie secrétairerie d'État serait seulement suspension d'armes tion trésor trouver Varrax venir Virieu
Popular passages
Page 389 - Les chevaliers de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem qui sont français, actuellement à Malte, et dont l'état sera arrêté par le général en chef, pourront rentrer dans leur patrie, et leur résidence à Malte leur sera comptée comme une résidence en France.
Page 389 - Malle, leur vie durant. Cette pension sera de mille francs pour les chevaliers sexagénaires, et au-dessus. La République française emploiera ses bons offices auprès des Républiques cisalpine, ligurienne, romaine et helvétique, pour qu'elles accordent la même pension aux chevaliers de ces différentes nations.
Page 390 - ART. 8. — Tous les actes civils passés sous le gouvernement de l'Ordre seront valables et auront leur exécution. Fait double à bord du vaisseau l'Orient, devant Malte, le 24 prairial an VI de la République française (vieux style, 12 juin 1798).
Page 389 - Maître, sa vie durant, une principauté équivalente à celle qu'il perd, et, en attendant, elle s'engage à lui faire une pension annuelle de 300000 francs.
Page 389 - Convention arrêtée entre la République française, représentée par le général en chef Bonaparte, d'une part; et l'Ordre des chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem, représenté par MM. le bailli de...
Page 200 - ... du même mois, une suspension d'armes entre l'armée de la république française, commandée par le général Bonaparte , représenté par le chef de brigade Junot , premier aide-de-camp dudit général, et entre son altesse éminentissime et l'ordre de saint-Jean de Jérusalem.
Page 390 - Gozo continueront à jouir , comme par le passé, du libre exercice de la religion catholique , apostolique et romaine. Ils conserveront les privilèges qu'ils possèdent : il ne sera mis aucune contribution extraordinaie.
Page 143 - garde : il y va, Monseigneur, de votre propre honneur et « de la conservation de l'Ordre; et si vous cédiez sans vous « être défendu, vous seriez déshonoré aux yeux de toute
Page 389 - ... de ladite pension à titre d'indemnité pour son mobilier. Il conservera, pendant le temps qu'il restera à Malte, les honneurs militaires dont il jouissait.
Page 215 - Vous pouvez, lui dit Bonaparte, faire toutes les réserves qu'il vous plaira, nous saurons bien, s'il le faut, les rendre nulles à coups de de canon.. » On me présenta la plume pour signer aussi ; je répondis que je n'avais nul titre pour cela, mais que, quand même j'en aurais eu un, je me serais bien gardé de signer une convention qui couvrait à jamais de honte l'Ordre, le GrandMaître et les Maltais, sans qu'il en résultât ni gloire pour le général, ni avantage pour la France. Comment...