C'est par la convention qui se fait habituellement entre ces deux personnes dont l'intérêt n'est nullement le même que se détermine le taux commun des salaires. Les ouvriers désirent gagner le plus possible, les maîtres donner le moins qu'ils peuvent.... Bulletin - Page 213by Société académique d'agriculture, belles-lettres, sciences et arts de Poitiers - 1867Full view - About this book
| François Vidal - 1846 - 520 pages
...habituellement enlre ces deux personnes (le maître et l'ouvrier, le capitaliste et le travailleur), dont l'intérêt n'est nullement le même, que se...; les maîtres donner le moins qu'ils peuvent; les premiers sont disposés à se concerter pour élever les salaires, les seconds pour les abaisser. »... | |
| Gilbert Urbain Guillaumin - 1854 - 1012 pages
...C'est par la convention qui se fait habituellement entre ces deux personnes (le maître et l'ouvrier), dont l'intérêt n'est nullement le même, que se...les maîtres, donner le moins qu'ils peuvent ; les premiers sont disposés à se concerter pour élever les salaires, les seconds pour les abaisser. «... | |
| Jean-Guillaume-César-Alexandre-Hippolyte baron de Colins - 1854 - 450 pages
...habituellement entre ces deux per« sonnes (le maître et l'ouvrier, le capitaliste et le travail« leur), dont l'intérêt n'est nullement le même, que se...détermine le taux commun des salaires. Les ouvriers dési« rant gagner le plus possible ; les maîtres donner le moins « qu'ils peuvent; les premiers... | |
| Edouard Haus - 1862 - 468 pages
...personnes, le maître et l'ouK vrier, dont l'intérêt n'est nullement le même, que se dé« termine le taux commun des salaires. Les ouvriers désirent...les maîtres, donner le moins qu'ils « peuvent. Les premiers sont disposés à se concerter pour « élever les salaires, les seconds pour les abaisser.... | |
| Edouard Haus - 1862 - 510 pages
...n'est nullement le même, que se déce termine le taux commun des salaires. Les ouvriers désirent a gagner le plus possible; les maîtres, donner le moins qu'ils « peuvent. Les premiers sont disposés à se concerter pour « élever les salaires, les seconds pour les abaisser.... | |
| Charles Coquelin - 1864 - 1026 pages
...par la convention qui se fait habituellement entre ces deux personnes (le maître et ¡ l'ouvrier], dont l'intérêt n'est nullement le même, que se...Les ouvriers désirent gagner le plus possible; les j maîtres, donner le moins qu'ils peuvent; les premiers sont disposés à se concerter pour élever... | |
| Agathon de Potter - 1866 - 332 pages
...la naïveté d'appeler cela une convention, — qui se fait habituellement entre ces deux personnes, dont l'intérêt n'est nullement le même, que se détermine le taux commun du salaire. Les ouvriers désirent gagner le plus possible; les maîtres, donner le moins possible... | |
| Agathon de Potter - 1866 - 332 pages
...la naïveté d'appeler cela une convention, — qui se fait habituellement entre ces deux personnes, dont l'intérêt n'est nullement le même, que se détermine le taux commun du salaire. Les ouvriers désirent gagner le plus possible; les maîtres, donner le moins possible... | |
| 1867 - 504 pages
...admet cette efficacité pour la modification du taux commun du salaire. « Les ouvriers, dit-il , » désirent gagner le plus possible, les maîtres donner le moins qu'ils » peuvent; les premiers sont disposés à se concerter pour élever » les salaires, les seconds, pour les abaisser.... | |
| 1867 - 548 pages
...admet cette efficacité pour la modification du taux commun du salaire. « Les ouvriers, dit-il, » désirent gagner le plus possible, les maîtres donner le moins qu'ils » peuvent; les premiers sont disposés à se concerter pour élever > les salaires, les seconds, pour les abaisser.... | |
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