n'ont pas cultivé la poëfie avec moins d'ar" deur que les Perfans : ils ont même plus de " cet enthoufiafme, de cette fureur poetique*, *' qui faifit, échauffe, et enlève le cœur. Leur " ftyle eft impétueux ; leur imagination vive " peint avec... The Works of Sir William Jones - Page 286by William Jones - 1807Full view - About this book
| 1770 - 320 pages
...enT lève le cœur. Leur ftyle eft impertueux, leur imagination vive peint avec force les objets, & ils mettent dans leurs vers toute la chaleur du climat qu'ils habitent. Ils reflemblent.à un diamant qui étincelle de mille feux ; mais pour fentir leuï beauté, il faut entendre... | |
| Sir William Jones - 1807 - 484 pages
...enthoufiafme, de cette fureur poetique*, *' qui faifit, échauffe, et enlève le coeur. Leur " flyle eft impétueux ; leur imagination vive " peint avec...toute la chaleur du climat *' qu'ils habitent. Ils reffêmblent à un dia41 mant qui étincelle de mille feux ; mais pour " fentir leur beauté, il faut... | |
| William Jones - 1993 - 452 pages
...qu'Atter tâche de rendre " les hommes plus vertueux par les préceptes " de la plus fublime morale. Les Arabes " n'ont pas cultivé la poëfie avec moins...dia" mant qui étincelle de mille feux ; mais pour *' fentir leur beauté, il faut entendre leur " langue. Quiconque veut atteindre la per** feclion,... | |
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