Annales de la Société d'émulation (agriculture, lettres et arts) de l'Ain, Volume 16Impr. Adolphe Dufour, 1883 |
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1re livraison Amé VIII Anne de Lusignan assez avaient Bénédicte Boghem Bolomier Bonne de Berry Bonne de Bourbon Bornier Bourbon Bourg bourgeois Bourgogne Bressans Brogne Brou Bugey cent Chambéry Charles Charles VIII charmant château châtelain chose Comte Rouge Concile Conseil couvent curé d'Amé VIII devant Dieu Dombes Edith église enfants état de Savoie Etats évêque faisait femme féodale fille fils Foissiat François Ier frère Genève gens gouvernement guerre Guichenon Guillod hérétiques homme Inquisiteurs Jean jeune jour juges justice l'Ain l'Eglise l'Inquisition laissa livres Louis XI Lyon Madame maison Marguerite mari ment Meyt mille Mme Amelot mort Moyen-Age n'avait n'était Nantua neveu nobles noblesse officiers pape passé Paul pauvres payer pays père Perréal peste petite Philibert Philippe de Bresse politique Préau premier Prince procès Quinet règne reste Ribert rien Rosoi Saint Savoie Savoyards Seigneur sera seul sœur Statut syndics tion Trévoux veuve vint voulait XVe siècle Yolande
Popular passages
Page 335 - L'ennemi fuit de tous côtés sur Troyes. Soyez le premier aux balles. Il n'est plus question d'agir comme dans les derniers temps, mais il faut reprendre ses bottes et sa résolution de 93. Quand les Français verront votre panache aux avant-postes, et qu'ils vous verront vous exposer le premier aux coups de fusil , vous en ferez ce que vous voudrez.
Page 379 - La mort le fait fremir, pallir, Le nez courber, les vaines tendre Le col enfler, la chair mollir, Joinctes et nerfs croistre et estendre. Corps femenin, qui tant es tendre, Poly, souef, si precieux, Te fauldra il ces maux attendre? Oy, ou tout vif aller es cieulx.
Page 203 - Moi aussi, dans mon isolement, je sentais vers l'automne de 18:20, au milieu de la forêt de Seillon, sur le bord des étangs, en compagnie des hérons et des sarcelles, cette profonde végétation morale qui travaillait alors sourdement, obscurément l'esprit français, d'une frontière à l'autre.
Page 379 - Tu aspireras après la paix du tombeau. Tu diras à la fosse * Tu es mon père, et aux vers : Vous êtes mes frères , mais en vain. Car celui qui aime la vie la perdra; mais celui qui hait sa vie en ce monde la conservera pour. la vie éternelle. Le père Grisel nous tendit la main , que nous serrâmes tour à tour , et que nous couvrîmes de baisers. Alors il...
Page 292 - Après tout, c'est mettre ses conjectures à bien haut prix que d'en faire cuire un homme tout vif ». La folie est de tous les temps.
Page 43 - Séville en Espagne jusqu'en Prusse, ne demeura gros vaisseau sur mer, où les François pussent mettre leur main, qui ne fût retenu pour le roi et ses gens. One, depuis que Dieu créa le monde, on ne vit tant de nefs ensemble, comme il y en eut, celui an, au havre de l'Écluse et sur la mer entre l'Ecluse et Blankenberghe ; car, au mois de septembre, elles furent nombrées à treize cent quatre-vingt-sept2.
Page 349 - Donnez vos ordres positifs, et ils seront à l'instant exécutés. Les suppôts du royalisme ont bien pu établir une Vendée ; si vous l'ordonnez, une Lyonnaise en faveur de Napoléon II ou de la République sera de suite levée, le tocsin sonnera partout, et la France sera sauvée. Donnez-moi l'ordre d'attaquer l'ennemi, appuyé par la division Maransin; faites-moi soutenir par la division...
Page 194 - Nous ne savions ni grec, ni latin, ni français; mais nous composions des discours, des déclamations, des amplifications, des narrations, comme au temps de Sénèque. Dans ces discours, il fallait toujours une prosopopée à la Fabricius; dans les narrations, toujours un combat de générosité, toujours un père qui dispute à son fils le droit de mourir à sa place dans un naufrage, un incendie, ou sur un échafaud. Nous avions le choix entre ces trois manières de terminer la vie de nos héros,...
Page 329 - La lune se lève au ras des prairies. ;-..,iions, joli cœur, je suis ton galant Un grand manteau d'or couvre ses épaules, Et moi dont la veste est de vieux coutil ! Partons, joli cœur, pour le Bois-Gentil. La lune se lève au-dessus des saules. Comme un enfant joue avec un oiseau, Elle tient ma vie entre ses mains blanchev La lune se lève au milieu des branches, Partons, joli cœur, et prends ton fuseau.