 | 1759 - 450 pages
...médiocre, je vous eufle eu à mon " mon fervice , à quelque prix que c'eût été; » mais puifque Dieu vous a fait naître un » grand Roi , il ne pouvoit pas être autrement " que je ne fufTe à vous. Le Roi l'embraflant répondit , vous ne me connoijfez pas maintenant vous autres , mais... | |
 | Louis-Laurent Prault - 1775 - 432 pages
...» j'aurois voulu vous avoir à mon fervi» ce , à quelque prix que c'eût été ; mais » puifque Dieu vous a fait naître un » grand Roi , il ne pouvoit pas être au» trement que je ne fufle à vous. «= Henri IV l'embrafla , & lui répliqua : » Vous » ne me... | |
 | Maximilien de Béthune duc de Sully - 1788 - 370 pages
...avoir à mon fefvice , à ,, quelque prix que c'eût été; mais, puif„ que Dieu vous a fait paître un grand „ Roi , il ne pouvoit pas être autrement, ,, que je ne fufie à vous „. Henri IV l'embrafla , & lui repliqua : Vous ne me ,, connoillez pas encore , vous... | |
 | Anne-Henri Cabet vicomte de Dampmartin - 1810 - 524 pages
...et le cœur Henri IV. gros de tristesse , il disoit à Bassompierre et au 161° duc ,je Guise • « Vous ne me connoissez pas » encore vous autres ; mais je mourrai un de » ces jours , et quand vous m'aurez perdu » vous connoîtrez ce que je valois et la » différence qu'il ya de moi aux autres... | |
 | Maximilien de Béthune duc de Sully - 1814 - 792 pages
.... . . Le Roi lui dit ^ à M. de Guise) et à moi aussi : » Vous ne me connoissez pas maintenant , vous autres ; mais je » mourrai un de ces jours ; et quand vous m'aurez pi-rdu , vous » connoîtrez lors ce que je Valois , et la différence qu'il ya de moi » aux... | |
 | V. Adolphe Revel - 1815 - 618 pages
...quelque prix que c'eût été ; mais puisque Dieu vous à fait naître un grand Roi, il ne pouvait pas être autrement que je ne fusse à vous : Henri iv l'embrassa et lui répliqua, vous ne me connaissez pas encore vous autres , mais je mourrai un de ces jours, et quand vous m'aurez perdu ,... | |
 | Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1816 - 414 pages
...n'eussiez été que d'une » médiocre condition , je vous aurois eu « à mon service , à quelque prix que c'eût » été ; mais puisque Dieu vous a fait...pouvoit pas » être autrement que je ne fusse à vous. » Le roi l'embrassa, et pourtant, reprit» il en soupirant, vous ne me connoissez » pas bien , vous... | |
 | L. Laurent Prault - 1816 - 458 pages
...homme d'une condition médiocre , » j'aurois' voulu vous avoir à. mon ser» vice, à quelque prix que c'eût été; » mais puisque Dieu vous a fait naître » un grand rai , il ne pouvait pas être » autrement que je ne fusse à VOHS. » Henri IV l'embrassa , et lui... | |
 | Petitot (M., Claude-Bernard) - 1822 - 480 pages
...eusse eu à mon service , à quelque prix que c'eût été ; mais , puisque Dieu vous a fait naîlre un grand roi, il ne pouvoit pas être autrement que je ne fusse à vous. » Le Roi l'embrassa et lui dit, et à moi aussi : « Vous ne me connoissez pas maintenant, Vous autres;... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1820 - 326 pages
...répondit à M. de Guise , qui s'entretenoit avec lui : « 'Vîtes ne me connoissez pas maintenant, » vous autres ; mais je mourrai un de ces> », jours , et quand vous m'aurez perdu vous » connoîtrez lors ce que je valois. » Bassompierre , qui étoit présent, voulut... | |
| |
T. i9. 38 eusse eu à mon service , à quelque prix que c'eût été ; mais , puisque Dieu vous a fait naître un grand roi, il ne pouvoit pas être autrement que je ne fusse à vous. 
