Bulletin de la Société française de minéralogie et de cristallographie, Volume 18

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Popular passages

Page 274 - Si l'on supprime le condensateur, le minéral, dans le grillage qui s'opère, devient incandescent en donnant un spectre continu sur lequel se détachent faiblement les raies du cuivre ci-dessus, quelques-unes des principales raies du plomb y, S, p, a, et surtout la belle raie verte du thallium Tl a (534.9) forte, par intermittences surtout. Avec le condensateur, elle est visible aussi, assez bien dans la Dufrénoysite, faiblement dans la Guitermanite. Je donne à la fin du mémoire une planche contenant...
Page iii - BOURGEAT (l'abbé), Docteur es sciences, professeur à la Faculté libre des Sciences de Lille. m BOURGEOIS (Léon), Répétiteur à l'École polytechnique, Assistant au Muséum d'histoire naturelle, 1, rue du CardinalLemoine, Paris.
Page 413 - LACROIX. M. PISANI présente des échantillons d'opale d'Australie. M. CARNOT fait hommage à la Société d'un exemplaire des travaux suivants : Sur quelques phosphates d'alumine naturels et sur un gisement de Minervite; Sur les cristaux des scories de déphosphoration ; Nouvelle méthode pour le dosage du fluor; Sur la détermination du phosphore dans les fers, les aciers et les fontes dans les terres végétales ; Emploi de l'eau oxygénée dans le dosage pondéral et volumétrique du chrome et...
Page 78 - La roche à leucite que nous décrivons, tire un interêt spécial de ce fait que l'on ne connaît jusqu'à présent que quelques gisements des roches similaires antétertiaires; ils se trouvent tous en dehors d'Europe. MH DUFET fait une communication sur les ferro, ruthéno et osmocyanures de potassium. MC CAMICHEL expose ses recherches relatives à l'étude expérimentale sur l'absorption de la lumière par les cristaux. Sur la forme cristalline de la formopyrine et de ses composés. Par H. GOGUEL....
Page iv - FIZEAU, membre de l'Institut, 3, rue de l'Estrapade, Paris. FLAMAND, chargé de conférences à l'École des Sciences d'Alger, Alger-Mustapha. FOUQUÉ, membre de l'Institut, professeur d'histoire naturelle des corps inorganiques au Collège de France, 23, rue Humboldt, Paris.
Page 177 - En second lieu, les spectres du trait de feu sont très brillants, les raies bien tranchées, les bandes nébuleuses rares. Enfin l'étincelle de la bobine seule échauffe les corps étudiés, souvent très résistants au passage de l'électricité; elle les porte à l'incandescence en donnant un spectre continu (1), 'sur lequel se détachent seulement les raies les plus intenses appartenant aux métaux. Ce fait peut être utilisé, dans certains cas, pour distinguer ceux-ci, notamment le lhallium,...
Page 340 - Rhumkorff et du condensateur, de bons spectres do lignes brillantes. Non seulement les métaux, mais aussi les métalloïdes donnent leurs raies dans l'étincelle condensée. Les éléments contenus en faibles quantités sont facilement discernables par ce procédé. Plusieurs corps et notamment le fer, donnent dans ces conditions, des raies qui n'avaient jusqu'ici été observées que dans l'arc électrique. En supprimant le condensateur,, les spectres des métalloïdes disparaissent, et ceux des...
Page 180 - ... inconvénients, MV Chabaud (1) a construit sur mes indications, avec son habileté accoutumée, un support métallique qui m'a donné des résultats satisfaisants. Une tige verticale carrée, de laiton, porte une crémaillère sur laquelle se meuvent, au moyen de pignons, (1) Successeur d'Alvergniat frères. deux coulisses, où peuvent glisser des tiges horizontales d'ébonite. L'extrémité de chacune des deux tiges d'ébonite porte une tête métallique dans laquelle se fixe par une mâchoire...
Page 27 - ... ils se trouvent tous en dehors d'Europe. MH DUFET fait une communication sur les ferro, ruthéno et osmocyanures de potassium. MC CAMICHEL expose ses recherches relatives à l'étude expérimentale sur l'absorption de la lumière par les cris taux. Sur la forme cristalline de la formopyrine et de ses composés. Par H. GOGUEL. M. Marcourt, élève de l'École de santé navale, au cours d'un récent travail exécuté dans le laboratoire de M. Denigès, professeur agrégé de chimie, à la Faculté...
Page 183 - ... c'est-à-dire plus réfrangibles que X = 700.0, étaient comprises entre les divisions 104 et 200. Pour le jaune, le vert et le bleu, le zéro de l'échelle était établi sur Naa,, c'est-à-dire où se trouvait le 200 pour le rouge. La fin de l'échelle (la division 250) se trouvait alors à >. — 464.3; cette position était repérée au moyen du réticule et du cercle divisé de la lunette. On transportait alors l'échelle micrométrique de toute sa longueur, le zéro venant se placer sur...

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