Le foyer et les champs: poésiesSociété générale de librairie catholique, 1877 - 85 pages |
Common terms and phrases
ailes aime âme amour ange baisers berceau blanc Blasphémateurs bois bord bras brise bruit C'était cacher cailloux cercueil chancelante chansons chant Charlemagne chemin chêne cheveux chien ciel ciel profond cierges cloches cœur colombe CONSCRIPTION corsage corset d'or deuil devant Dieu Dieu douleur doux Durandal enfants blonds Ermann essaim étincelant fête fiancée flambeau fleurs flot fraîche froide funèbre genoux Georges RODENBACH Hélas Hêtre Hildegonde humble J'aime Jean de Nivelle jette jeune joie jour joyeux l'aïeul l'amour l'aurore l'autel l'oiseau l'ombre larmes LEBROCQUY lèvres lierre épais linceul Louise lueur main manteau marche mère morne mort murmure MUSE neige Nonnenwerth nuages nuit œil OXFORD paladin parfums passants pauvre pleurs POÉSIES prier printemps qu'un rayon regard rêve Rhin Roland rose Rosine rougis s'envole saule Seigneur seuil SOCIÉTÉ GÉNÉRALE sœurs soir soleil sombre souffle sourire tombe tombeau tremblant trève triste troubadours vainqueur vautour vent verts vide vieillard vieille vierge vieux vint voix yeux
Popular passages
Page 35 - A chaque pan de mur ; Un parquet tant ciré qu'on y marche avec peine. Ornant la cheminée un vase en porcelaine Qu'un vieil adorateur rapporta du Japon. Sur un bahut de chêne, un paquet de bonbon Et tout pris, un missel couvert de velours rouge. Elle brode un bonnet pour sa nièce et ne bouge, Savourant...
Page 13 - Ce quatrain bien tourné en résume le charme naïf : étions dans ce calme où l'amour se recueille Timides, arrachant à chaque arbre une feuille, Mordillant des bleuets et fouettant le gazon, Regardant, sans rien voir, le bout de l'horizon.
Page 58 - L'air, ses vautours et ses colombes ; Sous la ver dure et sous les fleurs. Naissent les berceaux et les tombes ! On fait souvent un linceul froid D'un voile de fête splendide: An construit un cercueil étroit vec le bois d'un berceau vide !... -1-..W LES CAILLOUX DE M.OUSNY (EN ARDENNES).
Page 35 - Quatre portraits d'aïeux à chaque pan du mur ; Un parquet tant ciré qu'on y marche avec peine. Ornant la cheminée, un vase en porcelaine Qu'un vieil adorateur rapporta du Japon. Sur un bahut de chêne, un paquet de bonbon, Et tout près, un missel couvert de velours rouge.
Page 12 - Sa voix souffrante avait le tremblement du râle, Car elle pressentait, triste, effeuillant des fleurs, Qu'un jour il finirait peut-être dans les pleurs Ce doux rêve d'amour commencé clans le rire!..
Page 56 - Nous faut-il perdre encor nos têtes les plus chères, Et venir en pleurant leur fermer les paupières, Dès qu'un rayon d'espoir a brillé dans leurs yeux ? Le ciel de ses élus devient-il envieux ? Ou faut-il croire, hélas ! ce que disaient nos pères, Que lorsqu'on meurt si jeune on est aimé des dieux...
Page 28 - Adèle et Louisa, mes sœurs, blanches colombes Que la mort abattit dans son vol triomphant, Courbant mon front pensif sur les croix de vos tombes J'y mets avec des fleurs un rayon réchauffant.
Page 58 - L'aube a son sourire et ses pleurs, L'air, ses vautours et ses colombes ; Sous la ver dure et sous les fleurs. Naissent les berceaux et les tombes ! On fait souvent un linceul froid D'un voile de...