Le roman sentimental avant l'AstréeParis, 1908 - 406 pages |
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Abel l'Angelier amans Amours Diverses Angoysses Arnalte assez Aventures avoit beauté belle Belleforest Benoist Rigaud Bergeries de Julliette Boccace Bray Brueil ceste Charles Sorel Chasteté chevaleresque Claude Colet Clidamant cœur Constance Corbin Corrozet cueur d'imp d'Intras d'Urfé dame demoiselle Diane discours édition Escuteaux esté estoit estre faict femme Fiammette fille Florigène François Françoys galanterie Galliot du Pré gentilhomme Gesselin Gilles Gilles Corrozet goth goût Guillemot Hélisenne Henri IV Hist Histoires tragiques Ibid infortunees italienne j'ay Jacques Corbin Jean Jehan l'amant l'Angelier l'Astrée l'auteur l'histoire Lauréole Leriano lettres livre Lucenda Lydamas Lyon mariage Marilinde mesme mondaine Montreux Myrtille Nervèze Nicolas de Montreux œuvres Pallinoé Pamphile parfaicte passion Pierre Boaistuau plaisir Portraict première Prison d'Amour Priv Privil rééditions Rigaud Robinot ROMAN CHEVALERESQUE roman d'aventures ROMAN SENTIMENTAL Rouen seigneur sentiments Sephora siècle sieur Souhait trad traduction tres veritable vraye amante
Popular passages
Page 9 - Heptaméron des Nouvelles de très illustre et très excellente Princesse Marguerite de Valois, Royne de Navarre...
Page 134 - ... car l'âme, qui n'est créée que pour retourner à son souverain bien, ne faict, tant qu'elle est dedans ce corps, que désirer d'y parvenir.
Page 133 - Et, si pour vostre passe temps vous voulez des femmes de mon estât, vous en trouverez assez en ceste ville, de plus belles que moy sans comparaison, qui ne vous donneront la peyne de les prier tant. Arrestez-vous doncques à celles à qui vous ferez plaisir en acheptant leur honneur, et ne travaillez plus celle qui vous ayme plus que soy-mesmes.
Page 297 - L'établissement de cette fille coûterait : sans autre motif, c'est assez pour la dévouer à la religion ; mais elle n'est pas appelée à ce genre de vie : il faut bien qu'elle le soit , puisqu'il n'ya point d'autre parti...
Page 297 - Mais elle avoue elle-même qu'elle n'a pas cette grâce d'attrait : cette grâce lui viendra avec le temps, et lorsqu'elle sera dans un lieu propre à la recevoir. Cependant on conduit cette victime dans le temple, les pieds et les mains liés, je veux dire dans la disposition d'une volonté contrainte, la bouche muette par la crainte et le respect d'un père qu'elle a toujours honoré.
Page 20 - Matrone d'Éphèse est que souvent les femmes qui semblent les plus vertueuses, le sont le moins, et qu'ainsi il n'y en a presque point qui le soient véritablement. Qui ne voit que cette morale est très mauvaise, et qu'elle ne va qu'à corrompre les femmes par le mauvais exemple, et à leur faire croire qu'en manquant à leur devoir elles ne font que suivre la voie commune ? Il...
Page 1 - L'on voit qu'aujourd'huy les plus célèbres escrivains pour la prose ont un stile clair, doux et majestatif et du tout vuide de figures estranges, de poinctes affectées et de paroles hors de propos hautaines et inconnues, comme autrefois ceste vaine façon d'escrire estoit et se treuve encore affectueusement pratiquée par quelques-uns.
Page 268 - Tellement que ne prisant chacun que pour ce qu'il est, et non pas pour ce qu'il a, j'estime esgallement ceux qui ont la charge des plus grandes affaires, et ceux qui n'ont qu'une charge de cotrets* sur le dos, si la vertu n'y met de la différence.
Page 266 - Desescuteaux raffinèrent leur stile et commencèrent à parler Phœbus ; ils furent les mignons des Dames , et quelques-unes les portoient au lieu d'heures à l'Eglise ; s'il se formoit entr'elles quelque...
Page 214 - Vivaroise, contenant un brief discours que l'excellence de la femme surpasse celle de l'homme , non moins récréatif que plein de beaux exemples, etc.